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mœurs

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  • LIBERTINS

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    Au 17e siècle, le mot « libertin » renvoie d’abord à l’idée de liberté, notamment en matière religieuse. Le libertin, encore appelé « esprit fort », « libre-penseur », « athée », est souvent un jeune aristocrate lettré qui critique les dogmes religieux, refuse les injonctions de l’Église et développe une philosophie sceptique et épicurienne [...]

  • TOLÉRANCE

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    Au sens strict, la tolérance est le fait d’accepter quelque chose qu’on n’approuve pas, de ne pas l’interdire alors qu’on en a la possibilité. Il peut s’agir de comportements religieux, moraux ou d’actes qu’on considère comme répréhensibles, mais que l’on ne peut ou ne veut pas empêcher. On dit d’ailleurs du corps qu’il tolère un médicament, quand celui-ci ne provoque pas trop d’effets secondaires désagréables [...]

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Le libertin, débauché et hypocrite

Le XVIIIe siècle voit s’affirmer une nouvelle image du libertin, qui trouve sa parfaite incarnation dans les romans de Choderlos de Laclos ou de Sade. [...]

Pierre Bayle, un esprit critique

Pierre Bayle est un parfait représentant de ce qu’on a appelé le « libertinage érudit », annonciateur de l’encyclopédisme et du siècle des Lumières. [...]

Le libertin contre la religion

À partir du XVIe siècle, le terme « libertin » est utilisé pour désigner - et condamner - ceux qui prennent leur distance avec la religion. On parlera par la suite de « libres-penseurs ». [...]

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Les Plaisirs du bal, A. Watteau - crédits :  Bridgeman Images

Les Plaisirs du bal, A. Watteau