Lors de l’ Exposition universelle de 1855 à Paris, L’Atelier du peintre de Gustave Courbet est refusé.
L’Exposition universelle de 1855, qui succède à celle de Londres, en 1851, est une manifestation exceptionnelle, en grande partie grâce à sa section artistique. Remplaçant le traditionnel Salon, celle-ci est consacrée à tous les artistes vivants, français et étrangers, et n’est plus limitée aux œuvres récentes, comme c’était la règle au Salon. C’est ainsi que, à la demande du gouvernement impérial soucieux d’établir la prééminence de la France dans les beaux-arts, des artistes, comme Jean Auguste Dominique Ingres, Eugène[...]
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