La phosphorescence des aiguilles de montre
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Une application anecdotique de la phosphorescence…
Certaines montres fabriquées dans la première moitié du 20e siècle utilisaient des traces de radium ou tritium pour exciter en permanence la peinture phosphorescente (à base de sulfure de zinc, ZnS) de leurs aiguilles. Cette pratique dangereuse (en particulier pour ceux qui travaillaient à leur fabrication) a été abandonnée au profit de peintures à base d’aluminate de strontium (SrAl2O4) dopé par de l'europium, ces peintures ayant une durée de phosphorescence et une luminosité 10 fois plus grandes.