On appelle Printemps de Prague la libéralisation du système communiste qui eut lieu en Tchécoslovaquie du 5 janvier au 21 août 1968.
Alexandre Dubcek, qui devient premier secrétaire du Parti communiste tchécoslovaque le 5 janvier 1968, engage une série de réformes libérales. Le 5 mars, la censure est supprimée. En avril, le principe d’un « socialisme à visage humain » est accepté. Des écrivains emprisonnés pour délit d’opinion sont libérés. L’attitude de l’État vis-à-vis de l’Église devient plus conciliante.
Mais cette politique est très critiquée dans les autres pays du bloc de l’Est, qui craignent que la Tchécoslovaquie[...]
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter