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Quelques œuvres pour accordéon

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En dehors de son utilisation par les musiques populaires, l'accordéon a sucité la composition d'œuvres de musique « savante » ainsi que de nombreuses transcriptions d'œuvres classiques.

On s'en tiendra ici aux musiques dites savantes. L'accordéon est utilisé par Paul Hindemith (Kammermusik, opus 24 n0 1, 1922), Alban Berg (Wozzeck, 1923), Paul Dessau (Die Verurteilung des Lukullus, 1949), Alan Hovhaness (Suite pour accordéon, 1958 ; Concerto pour accordéon, 1959), Paul Creston (Concerto pour accordéon, 1958), Henry Cowell (Iridescent Rondo, 1959), David Diamond (Night Music, 1961), Pauline Oliveros (Duo pour accordéon et bandonéon, 1964 ; Horse Sings from Cloud, pour accordéon, bandonéon et concertina, 1975), Mauricio Kagel (Aus Zungen Stimmen, pour quintette d'accordéons, 1972), Robert Rodríguez (Tango, 1985), Edison Denisov (Le Bateau passe près du quai, pour accordéon, piano et ensemble de percussions, 1987), Magnus Lindberg (Jeux d'anches, 1990), Heinz Holliger (Beiseit, 1991), Luciano Berio (Sequenza XIII, 1995).

Classification

Pour citer ce document

Encyclopædia Universalis. Quelques œuvres pour accordéon [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )